Qui est Trium’ ?

Andrea Suriano

Andrea a commencé l’improvisation théâtrale parce qu’il avait besoin d’un nouveau défi et de se remettre en jeu. Très vite, il est devenu passionné par cette discipline qui lui permet d’être quelqu’un d’autre et de créer de nouvelles histoires.

Il ne fait pas confiance aux personnes de bonne humeur avant 9h du matin et n’aime pas perdre, et ce même contre des enfants.

Son mot favori est désormais – encore plus en italien « ormai » – car il aime la fatalité de ce mot qui évoque quelque chose qui se termine tout en sous-entendant – avec le « mais » de la fin – un espoir, peut-être celui d’un nouveau départ.

Antonia Veillon

Antonia pratique l’improvisation théâtrale depuis 2015. L’impro fait vibrer son cœur parce qu’il lui permet de vivre des émotions fortes, d’aller en profondeur et d’apprécier le chaos et l’instant présent. Cette pratique, qui lui assure un équilibre entre réflexion et expression du corps, lui a appris à apprivoiser et, surtout, à explorer son hypersensibilité.

Elle aime son chat « Mochi» d’un amour irrationnel mais comprend que la comparaison avec l’expérience de la parentalité n’est pas toujours bienvenue. Elle adore les chansons soi-disant « tristes » – de préférence grecques ou espagnoles – qui, loin de la déprimer, la font vibrer. Elle fait partie des gens qui sont de bonne humeur le matin et se dit dotée d’une « grande capacité d’écoute » même si elle parle beaucoup.

Enfin, son mot préféré est « karpouzi » – pastèque en grec – parce qu’il lui fait penser à l’été.

Arnaud Busch

En pratiquant l’improvisation depuis 2014 et en montant sur scène, Arnaud assouvit son besoin de parler et de mettre son grain de sel partout. Depuis 2018, la Compagnie Trium’ a su faire chavirer son cœur et, depuis, il ne peut plus s’en passer. Il lui est fidèle comme une tourterelle (proverbe russe). Arnaud adore se mettre dans la peau de multiples personnages qui reflètent parfaitement ce qu’il n’est pas en dehors de la scène : robuste, vieux, naïf, idiot. D’autres personnages sont exactement ce qu’il est : bavardeur aux phrases sans fin, généreux, toursiveux et cocasse.

Arnaud aime beaucoup les câlins, donc il ne faut pas hésiter à le serrer dans ses bras, il arbore alors son plus beau sourire. Il aime la culture, mais pas seulement celle de l’impro, également celle de la jungle qu’il a sur sa terrasse et dans son potager.

Son mot préféré est transcendance parce que la frite c’est la transcendance de la patate. Ses origines belges seraient-elles à l’origine de son mot préféré ?

Aurelia Loriol

Aurelia fait de l’improvisation théâtrale depuis 2013. Elle prend plaisir à voyager dans les différents formats: matchs, cabarets, longues formes, etc. Pour elle, tous les concepts d’improvisation sont sources de challenge et de plaisir.

Si quelqu’un se touche le nez devant elle, elle se sent obligée de gratter le sien, comme pour les bâillements. Elle ne sait pas pourquoi, c’est un réflexe.

Son mot préféré est « frühstück« ,parce qu’elle a toujours pensé que ça voulait dire « blague » en allemand alors que, en réalité, ça veut dire « petit-déjeuner ».

Benjamin Boury-Jamot

Benjamin découvre le théâtre à 8 ans quand il était encore mignon et presque innocent. Affectionnant plus le jeu, l’interprétation et la création que l’apprentissage par coeur de textes, c’est complètement par hasard qu’il découvre l’improvisation théâtrale une fois adulte (moins innocent mais toujours aussi mignon).

L’envie de toujours créer se poursuit hors scène quand il imprime des choses complètement inutiles en plastique, qu’il code un n-ième projet informatique ou, tout simplement, qu’il cuisine son 4ème cheesecake de la semaine.

Son mot préféré est galette, parce qu’il y a du beurre dedans.

Cecilia Galindo

Cecilia découvre le théâtre à l’école et la connexion se fait tout de suite. Malgré la timidité qui l’habite, elle y trouve un moyen d’exprimer son univers intérieur et d’apprivoiser ses émotions. À travers le théâtre et l’improvisation, elle prend plaisir à explorer des situations et des personnages en tous genres, quelque part entre le drame, l’absurde et le comique.

Elle n’aime pas les étiquettes, celles des vêtements qui grattent mais aussi celles qu’on colle sur les gens sans raison. Elle s’anime très vite à l’écoute d’une musique funk, elle ne sait pas pourquoi son corps est obligé de se balancer dans l’instant où la basse retentit.

Son mot préféré est biscornu, parce qu’il est aussi étrange dans le sens que dans la forme, et elle aime l’étrange. Et puis, son signe astrologique c’est Taureau donc…

Giuseppe Santacroce

Giuseppe s’anime sur scène depuis 2014 mais en rêve depuis son enfance. Il découvre l’impro à l’âge de 12 ans lorsqu’il prend quelques cours à l’école mais ne s’y met sérieusement que 16 ans plus tard (lent mais tenace, le garçon!). Sur scène, il peut braver les interdits qui se logent dans sa raison. Il y apprend beaucoup de choses, notamment l’importance et la force que peut avoir un groupe! Il souhaite aussi laisser une trace de son passage sur terre en offrant au monde une oeuvre artistique bouleversante et géniale…

Il adore les oeufs brouillés, même s’il déteste le conflit (surtout le conflit de canard). Il aime la beauté du monde et son expression dans la nature. C’est en fixant un coucher de soleil sur les rives du Léman qu’il a exprimé un jour d’un ton solennel et profond : “c’est beau un coucher de soleil en automne!”.

Son mot préféré est absurde parce qu’il est plutôt sympathique à la prononciation mais, surtout, parce que c’est une définition plutôt intéressante du monde dans lequel nous vivons.

Guillaume Getaz

Guillaume pratique l’improvisation théâtrale depuis 2016. C’est la liberté totale que permet cet art qui le pousse à en faire autant que possible. Voyager dans les univers les plus variés, inventer des personnages sans limites ou explorer la sincérité des relations uniques qui se créent sur scène sont les principaux moteurs de son implication dans le monde de l’impro.

Le sport est un élément essentiel de son quotidien, tout comme le gras de la nourriture. Parce que le gras, c’est la vie.

Son mot préféré est bamboche, parce que la bamboche, c’est la vie!